Il y a deux catégories de films : la première, celle des films qui servent à se sentir plus fin et plus cultivé une fois visionnés. La deuxième, celle des films qu'on regarde le cerveau débranché, une bière à la main, en se grattant les couilles.
Après avoir matté Hypertension 2, dixit la doctoresse à forte poitrine que j'ai vu à l'hôpital et qui m'a soigné avec beaucoup de zèle, mon scrotum était atteint de "multiples lésions traumatiques liées à un grattage burnal intempestif ". Si j'avais gratté à chaque fois que j'ai rigolé, avec un filet de bave opportuniste se faufilant jusqu'au col de ma chemise, eh ben j'aurais plus de couilles.
J'ai encore des couilles, rassurez-vous. Vous il vous reste des yeux et des oreilles j'imagine, mh, alors servez-vous en un peu, au lieu de regarder des films sensibles et intelligents, bande de gros culs.
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1 commentaire:
j'adore la scène de baise intempestive dans l'hippodrome, particulièrement le survol du couple par un cheval surbraquemardé.
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